À Rome, en 1800, en plein travail dans l’église Sant’Andrea della Valle, le peintre Mario Cavaradossi, amant de la jalouse Tosca, accepte d’aider le prisonnier politique Angelotti dans son évasion.
À Rome, en 1800, en plein travail dans l’église Sant’Andrea della Valle, le peintre Mario Cavaradossi, amant de la jalouse Tosca, accepte d’aider le prisonnier politique Angelotti dans son évasion. Le chef de la police Scarpia, dont les visées politiques cachent un rare sadisme, est lancé à sa poursuite et découvre très vite l’implication de Cavaradossi. Seul moyen de parvenir à ses fins : utiliser la belle Tosca, cause de tous ses fantasmes. Cavaradossi arrêté, Scarpia croira un instant posséder la belle, avant qu’elle ne le poignarde. Les sombres calculs de Scarpia lui survivront. Passé un bref espoir, Mario mourra finalement exécuté, tandis que Tosca, rattrapée par son crime, se jettera du haut du Château Saint-Ange.
« Le plus grand opéra dramatique jamais composé ! » C’est ainsi que Franco Zefirelli qualifie l’œuvre de Puccini lors de la dernière reprise au Metropolitan Opera de New York (1985).
La piété, la jalousie mais aussi l’amour inconditionnel de Tosca pour Cavaradossi, tous les personnages sont traités dramatiquement avec la plus grande vérité : le Vérisme ! C’est la même tendance « nationaliste » que celle des grandes fresques sociales de Zola...
Dans “Tosca“, Puccini nous montre l’étendue de son génie de mélodiste, d’architecte des formes musicales, de véritable peintre des sentiments grâce à la mobilité et la fluidité de sa musique.
Durée : 2h45 avec entracte
Direction musicale : Martin MÁZIK
Direction artistique : Luis Miguel LAINZ
Avec : les Solistes et Orchestre de la Compagnie Lyrique OPERA 2001
Avec la participation du Coro Lirico Siciliano
Conception des décors et costumes : ALFREDO TROISI
Costumes : SARTORIA ARRIGO (Italie)
Chaussures : CALZATURE DI EPOCA (Italie)
Perruques : ARTIMAGINE (Italie)